" L’avenir des villes est-il voué à être toujours plus technologique ? " - article dans Le Labo de l'ESS

" Parce que la low-tech et l’économie sociale et solidaire (ESS) ont beaucoup en commun, tant dans les valeurs qu’elles portent et les finalités qu’elles poursuivent que dans les solutions qu’elles proposent, la présente étude interroge la façon dont l’ESS peut, avec l’ensemble des autres actrices et acteurs de proximité (dont les collectivités territoriales), favoriser l’émergence d’un tel territoire. "

" De Metropolis à Blade Runner, la science-fiction s’est fait l’écho, depuis longtemps, des dystopies liées à la technologisation du monde. La ville high-tech n’est ni une évidence, ni une fatalité. D’autres trajectoires sont possibles et souhaitables, comme la ville (ou métropole) low-tech, c’est-à-dire une ville qui, sans rejeter en bloc la technologie et l’innovation technique, fait montre d’un plus grand « techno-discernement », tant pour l’environnement que pour notre autonomie et notre résilience individuelles et collectives. Une ville favorisant, chaque fois que possible, la simplicité, la sobriété et le renforcement du pouvoir d’agir de ses habitantes et habitants, plutôt que la dépendance croissante aux outils technologiques, aux systèmes techniques et productifs dans lesquels ils s’inscrivent, aux chaînes d’approvisionnement complexes et mondiales sur lesquelles ils s‘appuient. " - lire l'article complet sur le site du Labo de l'ESS.

 

 

Photo de Maurício Mascaro provenant de Pexels

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